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samedi 3 mars 2012

La publicité et internet, un exemple : facebook

La publicité et internet, un exemple : facebook (d’après le cours de Julien Hatton)

Facebook est le réseau social qui comporte le plus d’adhérant, véritable source d’échange entre les individus, c’est une des clés de voutes du Web 2.0. En effet, l’internaute est au cœur de ce système, c’est lui qui devient la source du contenu d’internet.

Créer par Mark Zuckerberg le 4 février 2004, le site est passé d’un accès fermés, réservé aux étudiants de l’université d’Harvard,  au plus grand réseau social du monde.

Les publicitaires sont de plus en plus nombreux à utiliser ce moyen de communication pour faire parvenir des informations sur un produit ou un service vers des clients potentiels.

Cependant, cette méthode demande une surveillance accrue, car l’internaute peut rapidement réagir à cette forme d’annonce. Bien que le cours présenté a été axé sur la protection de soi-même sur internet, il parait évident que ces techniques sont appliquées par les entreprises passant par facebook pour défendre leurs marques.

Ainsi, toutes personnes (personal branding), produits ou services dont la marque est promue sur internet, obtiennent une e-réputation. Cette e-réputation est la perception de la marque par les internautes en fonctions des données numériques relatifs à la marque. Ces données peuvent être apportées par la marque elle-même mais aussi par d’autres internautes visant à juger la marque (cela peut être traduit sur facebook par les fameuses annotations « j’aime »).  Des données, positives ou négatives, peuvent être ainsi relatées à l’insu de la marque. La réputation virtuelle varie donc en fonction des actions effectuer par la marque sur internet (post de vidéos, photos, articles, jeux,…) ou en dehors (mais rarement pour le personal branding). Les publicitaires travaillent en ce sens, c'est-à-dire créer une bonne réputation pour une marque ou un service.

Une entreprise possède plusieurs techniques afin de contrôler cette réputation virtuelle.

Par les réseaux sociaux de manière générale, les marques tentes de se démarquer en créant des buzz médiatiques. Ces buzz sont cependant à double tranchant, en effet ils peuvent soit faire parler de la marque en bien soit en mal si ces buzz sont inadaptés à la population qu’ils visaient. Créer un bon buzz permet d’accroitre sa e-réputation. Par exemple, Kleenex a créé un groupe pour les personnes enrhumées, les internautes s’étant inscrit dans ce groupe ont eu la bonne surprise de recevoir un paquet de mouchoir de la marque : buzz médiatique, é-réputation améliorée (opération « feel good ! »). Cette méthode permet également de tourner un contenu négatif en un aspect positif. Une autre méthode est de « noyer » un contenu susceptible de faire baisser sa réputation virtuelle par un flot de données récentes.

Quelque soit la méthode utiliser pour défendre et augmenter sa e-réputation, les marques sont obligées de surveiller le contenu des données les concernant afin de pouvoir réagir rapidement. L’intérêt des marques les réseaux sociaux est de plus en plus important car ces réseaux permettent de toucher plus spécifiquement les clients qui se livrent au travers de leurs comptes.

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